Avant mon arrivée chez les AA, j’avais toujours une excuse pour boire : « Elle a dit... », « Il a dit... » « J’ai été mis à la porte, hier », « J’ai obtenu un emploi merveilleux, aujourd’hui ». Ma vie n’irait bien dans aucun domaine si je me remettais à boire. Depuis que je suis abstinent, elle s’améliore de jour en jour. Je dois constamment me rappeler de ne pas boire, de faire confiance à Dieu, de demeurer actif dans le mouvement. Aujourd’hui, est-ce que je mets quoi que ce soit au-dessus de ma sobriété, de Dieu ou des AA ?
Réflexions Quotidiennes
L’IMPORTANT D’ABORD (25 septembre)
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Certains d’entre nous ont dû encaisser de rudes coups avant de comprendre ceci : avec ou sans emploi, avec ou sans conjoint, nous ne cessons tout simplement pas de boire tant que nous faisons passer notre dépendance des autres avant notre dépendance envers Dieu.
LES ALCOOLIQUES ANONYMES, P. 111
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