En progressant vers la sobriété, j’ai reçu un cadeau qui ne s’achète pas. J’ai reçu une carte de mon fils au collège, qui disait : « Papa, tu ne peux t’imaginer comme je suis content que tout aille bien. Joyeux anniversaire ! Je t’aime ! » Il m’avait déjà dit qu’il m’aimait, auparavant. C’était pendant les Fêtes, l’année précédente ; il m’avait dit, en pleurant : « Papa, je t’aime ! Ne vois-tu pas ce que tu es en train de te faire à toi-même ? » Je ne le voyais pas. Étranglé par l’émotion, j’avais pleuré, alors. Cette fois-ci, en recevant cette carte, j’ai versé des larmes de joie, plutôt que de désespoir.
Réflexions Quotidiennes
NOS ENFANTS (26 septembre)
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L’alcoolique aura peut-être du mal à rétablir des relations amicales avec ses enfants... Mais ils comprendront à la longue que leur père est un homme nouveau et à leur façon, ils le lui feront savoir... À partir de ce moment-là, le progrès sera rapide. Ces retrouvailles donnent souvent de merveilleux résultats.
LES ALCOOLIQUES ANONYMES, P. 152
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